Yahoo Actualités Léa Salamé répond à la polémique sur Artus et l’alcool et plaide la mauvaise blague
Dans son émission "Quelle Époque" sur France 2, la journaliste est revenue sur ses propos. Elle avait qualifié l’humoriste, qui ne boit plus d’alcool, de "chiant".
TÉLÉVISION - « Les vannes, j’arrête, je vous les laisse. » Voici comment la journaliste Léa Salamé, critiquée après avoir qualifié l’humoriste Artus de « chiant » car il ne boit plus d’alcool, a répondu à la polémique dans son émission Quelle Époque ! sur France 2 samedi 4 mai.
Léa Salamé estime qu’arrêter l’alcool rend « chiant », des expertes en santé publique lui répondent
« J’ai reçu tellement de messages, il y a eu tellement de réactions, entre ceux qui ont été choqués par ma plaisanterie, ceux qui ont été choqués par l’ampleur des réactions à cette vanne, en mode décidément, on ne peut plus rien dire », a déclaré Léa Salamé.
« Au début, j’ai été surprise parce que c’était vraiment une plaisanterie. On l’a tous ressenti comme une plaisanterie, Artus aussi. Et en aucun cas une apologie de l’alcool », a-t-elle affirmé. « Mais après, cela m’a fait réfléchir. Et on s’est dit avec notre équipe que cela posait une vraie question, que cela ouvrait un vrai débat de société, un sujet de fond », a-t-elle ajouté.
Les "plaisanteries" sur l’alcool, c’est fini
D’ailleurs quelques minutes plus tard dans l’émission, le médecin urgentiste Gérald Kierzek était invité sur le plateau pour parler des dangers de la consommation d’alcool. Léa Salamé a précisé qu’Artus l’avait appelée et se serait excusé face à l’ampleur de la polémique. « Il m’a dit : je ne comprends pas, c’était une vanne », a-t-elle raconté.
La journaliste a en tout cas affirmé qu’elle ne ferait « plus de plaisanterie », et a rappelé que la consommation d’alcool était « un danger, un fléau qui fait des ravages », « immense souffrance pour ceux qui sont dépendants ».
Ce n’est toutefois pas la seule polémique dans laquelle est engluée la journaliste. Quelques jours après la diffusion de l’émission avec Artus, elle a été épinglée après avoir laissé entendre que certaines victimes de violences sexuelles se « laissaient faire » et d’autres non. Elle ne s’est pas encore exprimée à ce sujet.
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